Un salarié traverse un divorce douloureux. Un autre lutte contre un cancer. Une troisième accumule les impayés suite à un accident de vie. Pendant ce temps, leur travail en pâtit : absentéisme, baisse de concentration, épuisement moral.
Et si votre entreprise pouvait les accompagner avant que ces situations ne dégénèrent ? C’est précisément le rôle du service social du travail : un dispositif souvent méconnu, pourtant obligatoire dans certaines entreprises, qui transforme les difficultés personnelles en parcours d’accompagnement.
En 2025, avec 25% à 30% des salariés en situation de mal-être psychologique et des problématiques sociales de plus en plus complexes (logement, budget, santé…), le service social du travail n’a jamais été aussi pertinent.
Ce guide complet vous explique tout sur le service social du travail : missions concrètes, obligations légales, bénéfices pour l’entreprise et les collaborateurs, et comment le mettre en place efficacement.
Qu’est-ce que le service social du travail ?
Définition et cadre légal
Le service social du travail est un dispositif d’accompagnement social professionnel assuré par des assistants de service social diplômés d’État (DEASS). Ces professionnels interviennent auprès des salariés confrontés à des difficultés personnelles, familiales, professionnelles ou administratives susceptibles d’impacter leur travail.
Cadre réglementaire (Article L4631-1 du Code du travail) :
« Un service social du travail est organisé dans tout établissement employant habituellement au moins 250 salariés. »
Cette obligation légale remonte au Code du Travail et vise à garantir l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle des collaborateurs.
Assistant social du travail vs autres acteurs RH
Il est essentiel de comprendre la spécificité de l’assistant social par rapport aux autres acteurs :
Acteur | Rôle | Lien hiérarchique | Secret professionnel |
---|---|---|---|
Assistant social du travail | Accompagnement social global | Aucun (neutralité) | OUI (absolu) |
RH | Gestion administrative, paie, carrière | Oui (direction) | Non |
Manager | Gestion opérationnelle, performance | Oui (hiérarchique) | Non |
Médecin du travail | Santé et aptitude au travail | Non (indépendant) | OUI (médical) |
Psychologue du travail | Souffrance psychologique | Aucun (neutralité) | OUI (absolu) |
L’avantage décisif : L’assistant social est tenu au secret professionnel et n’a aucun lien hiérarchique avec l’employeur, ce qui libère la parole des salariés.
Les 7 missions essentielles de l’assistant social du travail
Mission 1 : Accompagnement dans les démarches administratives
Concrètement, cela comprend :
Ouverture et renouvellement des droits sociaux
- Sécurité Sociale (CPAM)
- Allocations familiales (CAF)
- Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH – MDPH)
- Pôle Emploi, retraite, mutuelles
Constitution de dossiers complexes
- Demandes d’aides sociales (RSA, AAH, ASPA…)
- Dossiers de surendettement
- Demandes de logement social
- Dossiers d’aides financières ponctuelles
Exemple concret :
Un salarié en arrêt maladie longue durée suite à un accident ne sait pas comment gérer ses droits. L’assistant social l’accompagne dans la constitution du dossier MDPH pour obtenir une RQTH, puis l’aide à faire reconnaître son invalidité auprès de la CPAM.
Mission 2 : Soutien face aux difficultés financières et budgétaires
Interventions typiques :
Évaluation et accompagnement budgétaire
- Analyse de la situation financière
- Élaboration d’un plan de gestion budgétaire
- Conseils pour optimiser les dépenses
Gestion de l’endettement
- Accompagnement dossier de surendettement
- Négociation avec les créanciers
- Orientation vers des structures d’aide (CCAS, associations)
Accès aux aides financières
- Aides d’urgence (FSL – Fonds de Solidarité Logement)
- Aides énergétiques
- Secours exceptionnels (Croix Rouge, Secours Catholique, Restos du Cœur)
Statistiques : Les difficultés budgétaires représentent 30% des motifs de consultation auprès des assistants sociaux du travail.
Mission 3 : Accompagnement logement
Actions concrètes :
Accès au logement
- Dossiers de logement social
- Garanties locatives (Visale, GRL)
- Recherche de logements adaptés
Maintien dans le logement
- Impayés de loyer : plans d’apurement
- Risques d’expulsion : recours et solutions
- Aide au relogement d’urgence
Partenariats Action Logement Les assistants sociaux activent les dispositifs Action Logement (anciennement 1% logement) réservés aux salariés du privé.
Mission 4 : Soutien familial et personnel
Domaines d’intervention :
👨👩👧 Difficultés familiales
- Séparation, divorce : aspects pratiques et droits
- Garde d’enfants : modes de garde, aides financières
- Violences intra-familiales : orientation structures spécialisées
- Relations intergénérationnelles : aidants de parents âgés
👨👩👧 Scolarité des enfants
- Difficultés scolaires : orientation vers dispositifs adaptés
- Décrochage scolaire
- Harcèlement scolaire
Témoignage :
« Suite à l’annonce de mon cancer, je me sentais dépassée. L’assistante sociale m’a accompagnée dans les papiers à faire et la psychologue m’a soutenue pour traverser cette épreuve. Je sais que je peux compter sur elles. »
Mission 5 : Santé et maintien dans l’emploi
Accompagnement spécifique :
Arrêts de travail et maladies
- Anticipation de la reprise du travail
- Lien avec médecin du travail et médecin traitant
- Aménagements de poste nécessaires
Handicap et reconnaissance RQTH
- Constitution dossiers MDPH
- Accompagnement des salariés en situation de handicap
- Aménagements raisonnables
Addictions
- Orientation vers structures spécialisées (CSAPA, addictologues)
- Accompagnement dans les démarches de soin
- Soutien à la reconstruction
Lien avec la cellule d’écoute psychologique :
L’assistant social travaille en complémentarité avec le psychologue : lui gère l’aspect administratif et social, le psychologue gère l’aspect émotionnel et psychologique.
Mission 6 : Médiation et résolution de conflits
Situations gérées :
Conflits relationnels
- Tensions entre collègues
- Difficultés avec la hiérarchie
- Incompréhensions liées à des situations personnelles
L’assistant social peut orienter vers des services de médiation professionnelle quand la situation l’exige.
Prévention des risques psychosociaux L’assistant social est un acteur clé de la prévention des RPS en détectant précocement les situations de souffrance au travail.
Mission 7 : Actions collectives de prévention et d’information
Au-delà de l’accompagnement individuel :
Sensibilisations thématiques
- Ateliers gestion du budget
- Conférences sur les droits sociaux
- Sessions d’information retraite, handicap
- Prévention santé (addictions, sommeil, nutrition)
Contribution à la politique sociale de l’entreprise
- Remontées anonymisées des problématiques rencontrées
- Propositions d’amélioration
- Participation à la démarche RSE
Obligations légales : qui doit mettre en place un service social du travail ?
Entreprises de 250 salariés et plus : l’obligation
Article L4631-1 du Code du travail modifié par LOI n°2012-387 du 22 mars 2012 – art. 43 :
« Un service social du travail est organisé dans tout établissement employant habituellement au moins 250 salariés. »
Concrètement :
- ✅ Obligatoire si effectif ≥ 250 salariés
- ⚠️ Sanction possible en cas d’absence : mise en demeure de l’inspection du travail
Entreprises de moins de 250 salariés : fortement recommandé
Bien que non obligatoire, mettre en place un service social est un investissement stratégique pour :
- Prévenir l’absentéisme
- Fidéliser les talents
- Améliorer la qualité de vie au travail
- Renforcer la démarche RSE
Solutions adaptées aux PME :
- Service social mutualisé entre plusieurs entreprises
- Permanences mensuelles d’un assistant social externe
- Partenariat avec un cabinet spécialisé comme CS Conseil
Les 8 avantages concrets pour l’entreprise
1. Réduction significative de l’absentéisme
Le constat :
Les problèmes personnels non résolus génèrent du stress, de l’anxiété, des troubles du sommeil… qui se traduisent par des arrêts maladie.
L’impact du service social :
- Résolution proactive des difficultés avant qu’elles ne dégénèrent
- Accompagnement des arrêts longue durée pour faciliter le retour
- Prévention des rechutes
Chiffres clés : Les entreprises avec service social constatent une baisse de 15 à 25% de l’absentéisme lié aux problématiques personnelles.
2. Amélioration de la concentration et de la productivité
Un salarié préoccupé par un dossier de surendettement, une procédure d’expulsion ou un proche malade ne peut pas être pleinement concentré sur son travail.
Bénéfice direct :
- Salariés « libérés » mentalement
- Retour à une productivité normale
- Diminution des erreurs
3. Prévention du turn-over
45% des salariés ont déjà envisagé de quitter leur emploi en raison de la pression ou du manque de soutien.
Le service social comme facteur de fidélisation :
- Sentiment d’être soutenu par l’employeur
- Reconnaissance de la dimension humaine
- Attachement à l’entreprise renforcé
ROI : Éviter un seul départ coûte entre 6 à 12 mois de salaire (recrutement + formation).
4. Prévention des risques psychosociaux
L’assistant social est un détecteur précoce des situations à risque :
- Burn-out en développement
- Harcèlement moral ou sexuel
- Violences (intra-familiales ou au travail)
- Isolement social
Action en amont : Grâce à son positionnement neutre, l’assistant social capte des signaux que les RH ou managers ne verraient pas.
5. Amélioration du climat social
Effet sur le collectif :
- Sentiment de solidarité collective
- Cohésion renforcée
- Image employeur positive
Les salariés savent qu’en cas de coup dur, ils ne seront pas seuls. Cela crée un sentiment de sécurité psychologique favorable à l’engagement.
6. Conformité légale et réduction des risques juridiques
Pour les entreprises de 250+ salariés :
- Conformité avec l’obligation légale
- Évite les mises en demeure de l’inspection du travail
Pour toutes les entreprises :
- Démonstration de l’obligation de sécurité de l’employeur
- Prévention des contentieux liés aux RPS
- Protection juridique renforcée
7. Renforcement de la marque employeur
Dans un marché du travail tendu :
- Argument différenciant dans les recrutements
- Attractivité accrue auprès des candidats
- Bonne réputation : « entreprise qui prend soin de ses salariés »
Communication RH :
Le service social est un atout à valoriser dans les offres d’emploi, sur le site carrière et auprès des écoles/universités.
8. Contribution majeure à la démarche RSE
Le service social du travail s’inscrit parfaitement dans 3 des 7 piliers ISO 26000 :
- Relations et conditions de travail : amélioration de la QVT
- Droits de l’homme : accès aux droits sociaux fondamentaux
- Loyauté des pratiques : équité et soutien aux salariés
Intégrer le service social dans votre stratégie RSE renforce votre impact social et votre réputation.
Comment mettre en place un service social du travail dans votre entreprise ?
Option 1 : Recruter un assistant social salarié (grandes entreprises)
Avantages :
- Présence permanente et connaissance approfondie de l’entreprise
- Disponibilité immédiate
- Intégration forte dans la culture d’entreprise
Inconvénients :
- Coût fixe élevé (salaire + charges)
- Nécessite un volume d’activité suffisant
- Gestion RH d’un poste spécifique
Pour qui ? Entreprises de 500+ salariés avec besoins réguliers.
Option 2 : Externaliser auprès d’un prestataire spécialisé (RECOMMANDÉ)
Avantages :
- Coût maîtrisé et ajustable
- Expertise pointue et réseau partenarial
- Neutralité totale garantie
- Flexibilité selon les besoins
- Pas de gestion RH
Inconvénients :
- Nécessite une bonne communication sur le dispositif
Pour qui ? Entreprises de 50 à 1000+ salariés. C’est la solution la plus répandue.
Modalités pratiques :
- Permanences régulières sur site (1/2 journée à plusieurs jours/semaine)
- Consultations sur rendez-vous
- Ligne d’appel directe pour les salariés
- Reporting anonymisé à l’employeur
Option 3 : Service social mutualisé (TPE/PME)
Principe : Plusieurs petites entreprises d’un même secteur géographique mutualisent les services d’un assistant social.
Avantages :
- Coût partagé, accessible aux petites structures
- Expertise professionnelle
- Réseau élargi
Pour qui ? TPE/PME de 20 à 200 salariés.
Les étapes clés de mise en place
1. Évaluer les besoins (1 mois)
- Analyse des indicateurs RH (absentéisme, turn-over)
- Consultation du CSE et médecine du travail
- Évaluation du volume d’activité prévisible
2. Choisir le modèle (2 semaines)
- Interne vs externe vs mutualisé
- Définir la fréquence des permanences
- Budget alloué
3. Sélectionner le prestataire ou recruter (1-2 mois)
- Critères : diplôme DEASS, expérience entreprise, références
- Vérification de l’inscription au Conseil de l’Ordre (obligatoire)
- Respect du secret professionnel et déontologie
4. Organiser les modalités pratiques (2 semaines)
- Salle dédiée confidentielle sur site
- Ligne téléphonique directe
- Horaires des permanences
- Modalités de prise de rendez-vous
5. Communiquer massivement (1 mois + continu)
- Annonce officielle direction
- Affiches, flyers, intranet
- Présentation aux équipes
- Rappels réguliers
6. Piloter et ajuster (permanent)
- Bilans trimestriels anonymisés
- Indicateurs de suivi
- Ajustements si nécessaire
Service social ET cellule psychologique : la complémentarité gagnante
Le service social et la cellule d’écoute psychologique ne sont pas concurrents mais complémentaires.
Leurs rôles respectifs
Aspect | Service Social | Cellule Psychologique |
---|---|---|
Focus | Problèmes administratifs, sociaux, matériels | Souffrance psychologique, émotionnelle |
Actions | Démarches concrètes, dossiers, droits | Écoute, soutien, orientation psy |
Exemples | Dossier MDPH, surendettement, logement | Stress, anxiété, deuil, burn-out |
L’approche globale idéale : le duo gagnant
Cas concret :
Un salarié traverse un cancer. Il a besoin SIMULTANÉMENT :
- De l’assistant social : pour monter le dossier d’invalidité, gérer les impacts financiers, organiser les aides à domicile
- Du psychologue : pour gérer l’angoisse, accepter la maladie, soutenir moralement
CS Conseil propose cette approche intégrée avec une équipe pluridisciplinaire (assistants sociaux + psychologues + médiateurs) qui collaborent pour une prise en charge globale optimale.
Les erreurs à éviter
❌ Erreur n°1 : Confondre service social et RH
Le service social N’EST PAS une extension des RH. L’assistant social :
- Ne gère pas la paie, les congés, les carrières
- Ne rend pas compte à la direction des situations individuelles
- Est soumis au secret professionnel absolu
❌ Erreur n°2 : Négliger la communication
Un service social inconnu est un service social inutilisé.
Solution : Communication continue, multi-canaux, avec témoignages anonymes pour rassurer sur la confidentialité.
❌ Erreur n°3 : Vouloir des retours nominatifs
L’employeur ne peut PAS exiger de savoir qui consulte ni pourquoi. Seules des statistiques anonymisées sont transmises.
Pourquoi c’est crucial : Sans cette garantie absolue, les salariés ne consulteront pas.
❌ Erreur n°4 : Sous-dimensionner le dispositif
Un assistant social disponible 2h/mois pour 300 salariés sera saturé et inefficace.
Règle indicative : Compter environ 1 ETP (temps plein) assistant social pour 500-600 salariés en moyenne.
❌ Erreur n°5 : Ne pas former les managers
Les managers doivent :
- Connaître l’existence du service social
- Savoir orienter les salariés en difficulté
- Comprendre le secret professionnel
Solution : Session de sensibilisation managers lors du lancement.
Combien coûte un service social du travail ?
Tarification externe (prestataire)
Permanences régulières :
- Demi-journée (3-4h) : 350-500 € HT
- Journée complète : 600-900 € HT
- Forfait mensuel (1 jour/semaine) : 2 000-3 000 € HT/mois
Forfait annuel :
- Par salarié et par an : 15-30 € HT/salarié/an selon volume
Exemple pour une entreprise de 300 salariés :
- Forfait : 300 x 20€ = 6 000 € HT/an
- Soit 500 € HT/mois pour un service social complet
Coût interne (recrutement)
Salaire assistant social diplômé :
- Junior (0-3 ans) : 28-32K € brut/an
- Confirmé (3-7 ans) : 32-38K € brut/an
- Senior (7+ ans) : 38-45K € brut/an
Coût total chargé : Salaire brut x 1,45 (charges patronales) = 40-65K €/an
ROI : un investissement rentable
Coûts évités grâce au service social :
- Absentéisme : 1 arrêt évité = 5 000-15 000€ économisés
- Turn-over : 1 départ évité = 30 000-60 000€ économisés
- Contentieux : 1 conflit désamorcé = 10 000-100 000€ économisés
- Productivité : Salariés apaisés = +10-20% d’efficacité
Exemple concret :
Entreprise 300 salariés, investissement 6 000€/an :
- 2 arrêts longue durée évités = 20 000€
- 1 départ évité = 40 000€
- ROI : 1 000%
CS Conseil : votre service social du travail au Grand Est & Luxembourg
Depuis plus de 11 ans, CS Conseil met à disposition des entreprises du Grand Est et du Luxembourg des assistants sociaux diplômés d’État pour accompagner leurs collaborateurs.
Notre approche du service social
✅ Équipe d’assistants sociaux expérimentés
- Diplômés d’État (DEASS)
- Inscrits au Conseil de l’Ordre
- Spécialisés en milieu professionnel
✅ Accompagnement global et personnalisé
- Écoute sans jugement
- Démarches concrètes et suivies
- Réseau partenarial étendu (MDPH, CAF, CPAM, Action Logement…)
✅ Secret professionnel absolu
- Aucune information nominative transmise à l’employeur
- Reporting anonymisé uniquement
- Indépendance totale
✅ Complémentarité avec nos autres services
- Cellule d’écoute psychologique : pour l’accompagnement émotionnel
- Médiation : pour la résolution de conflits
- Formations : sensibilisation managers, prévention RPS
Nos formules adaptées à vos besoins
📅 Permanences régulières sur site
- Fréquence ajustable : hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle
- Consultations sur rendez-vous confidentielles
- Bureau dédié mis à disposition
📞 Ligne d’appel directe
- Numéro dédié pour vos salariés
- Prise de rendez-vous facilitée
- Conseils téléphoniques si besoin
📊 Reporting et pilotage
- Bilans trimestriels anonymisés
- Indicateurs de suivi d’activité
- Recommandations d’amélioration
📞 Contactez-nous pour mettre en place votre service social du travail
Conclusion : Le service social, un pilier de la QVT
Le service social du travail n’est pas un « plus » ou un « luxe » réservé aux grandes entreprises. C’est un levier stratégique de performance humaine qui :
- Protège la santé et le bien-être de vos collaborateurs
- Réduit l’absentéisme et le turn-over
- Améliore le climat social et la productivité
- Renforce votre attractivité et votre démarche RSE
- Vous met en conformité légale (si 250+ salariés)
Les 3 points clés à retenir :
- L’assistant social intervient sur TOUTES les problématiques personnelles impactant le travail : santé, famille, logement, budget, administratif
- Le secret professionnel absolu est la garantie d’un dispositif utilisé et efficace
- L’externalisation auprès d’un prestataire spécialisé comme CS Conseil est la solution optimale pour la majorité des entreprises
Dans un contexte où 90% des salariés estiment que la santé mentale devrait être une priorité employeur, proposer un service social du travail n’est plus optionnel. C’est une réponse concrète et pragmatique aux difficultés que traversent vos collaborateurs.
Un salarié accompagné est un salarié qui reste, qui s’engage et qui performe. Investir dans le service social, c’est investir dans votre capital humain.
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